Cc 135

Autrefois j’allais joyeux au torrent puiser de l’eau
Je chantais en rapportant des fagots de bois
Matin et soir j’étais féru des tâches quotidiennes
( Décidément la poésie me fait mentir
Continuons dans notre mensonge imaginaire )
Les plantes ont poussé le jardin était extraordinaire
Diligent sans me fatiguer j’avais le coeur dans la quiétude
Malheureusement il a craqué
Craignant n’avoir rien accompli en fin de compte
Je suis avare d’une journée je regarde sur une heure