Je dépends moins de ma culture
Que de la récolte des autres
Je donne mes dernières force à un champ
En forme de méandre dans la forêt
Je ne me suis jamais plaint que les travaux soient pénibles
J’ai souvent craint de trahir mon plaisir
Je suis toujours affamé
Je me réjouis de mon premier repas
Suivi d’une bonne nuit avant le chant du coq
Pour traverser le lac je rame
Je salue le vieux à la bêche