Lorsque trop d’années assiégeront ton front
Le labourant de tranchées bien profondes
Ton bel habit ne sera plus que loque
On regrettera alors les richesses de tes jours vigoureux
On ne les retrouvera pas dans ton oeil cave
On les retrouvera dans la beauté de l’enfant que tu as porté
Par héritage elle est tienne
Ca sera rajeunir quand tu vieilliras
Ca sera te réchauffer quand tu auras froid