Regarde ta face dans le miroir
Et dis lui d’en former une aussi belle
Tu outrages une mère tu frustres ton monde
En ne restaurant pas ta fraicheur
Où donc est la beauté qui veut ne rien devoir à ton labeur ?
Quel narcissisme à ne vouloir aucune postérité !
De ta mère tu es le miroir Ton image lui rappelle
Le meilleur de son printemps
Toi-même tu verras tes jours dorés malgré les rides
Mais vivant pour l’oubli tu dois te satisfaire
Que ton image meure avec toi solitaire