Charme prodigue, pourquoi dilapider et pour toi seul
Ton fabuleux héritage, ta beauté ?
Souviens-toi que Mère nature, de ses legs,
Ne fait point don, mais prêt
Pourquoi, bel avare, abuses-tu de ces dons généreux
Qu’on te dispense pour que tu les rendes ?
Usurier sans coeur et sans profit,
Tu thésaurises et tu ne peux pas en vivre !
Tu te frustres toi-même en restant seul
Quand viendra l’invite au voyage suprême
Espères-tu sérieusement laisser un bilan acceptable ?
Ta beauté, qui aurait pu te survivre et te cautionner,
Doit te suivre au tombeau *
* Rappelons que nous translations et donc interprétons. Ici pas de mot à mot.