Tu n’es point le mari de ma muse
Tu peux lire les dédicaces
Que des auteurs adressent
Pour bénéficier d’une grâce
Ton esprit égale ta beauté
Tu dépasses ma louange
Tu dois la chercher ailleurs
Là où les traces du passé sont fraiches
Ils bavardent
Leur rhétorique est excessive
Mais ta beauté trouvera un véritable écho
Rien ne vaut un ami véridique
Dont les mots sont simples et vrais
La peinture grossière
Va aux joues qui manquent de sang
Sur toi c’est une injure