Des âges perdus je relis les chroniques
J’y vois des êtres magnifiques
La beauté embellir ce qui déjà est beau
L’antique célébrer les dames et les messieurs
Je vois en ce blason
Des mains des pieds des yeux des lèvres des sourcils
Tu détiens cette beauté embellie
Une antique plume les a déjà décrits
POUR CHANTER TON MÉRITE ils manquaient de génie
Car leurs yeux ne faisaient que deviner
En ce jour nous avons des yeux pour admirer
Mais, las !, la voix nous manque de l’admiration