Ni mes angoisses
Du vaste monde
Ne contrôlent l’amour
Condamné à la malédiction
La lune s’est éclipsée
Les augures se moquent de leurs prédictions
La paix célèbre les oliviers
La rosée du temps embaumé
Rafraichit l’amour
La mort me raisonne
En dépit de tout je vivrai ce pauvre rythme
Laissant les tribus chiches se faire insulter
Tu trouveras ton monument
Quand auront disparu les casques des tyrans
Et leurs tombeaux de bronze