Hélas, il est vrai, je suis allé ici et là,
Et j’ai fait de moi-même un bouffon pour le spectacle,
J’ai galvaudé mes propres pensées, vendu pour presque rien ce qui m’est le plus cher,
J’ai fait de vieilles offenses à partir de nouvelles affections.
Il est bien vrai que je suis bloqué sur la vérité
Hors de propos et étrangement. Mais, au dessus de tout,
Ces égarements donnèrent à mon coeur une nouvelle jeunesse,
Et les pires tentatives te prouvèrent le meilleur de mon amour.
Maintenant tout est fait, ayez ce qui ne doit pas avoir de fin ;
Je ne veux plus moudre mon appétit
Pour tester à nouveau un vieil ami,
Un dieu d’amour, près de quel je suis confiné.
Souhaite moi la bienvenue, toi si proche de mon ciel,
Egal à ta pure et très aimante poitrine.