Pour l’amour la fortune est critique
Coupable déité de mes forfaits
J’en suis réduit aux ressources publiques
Qui engendrent des goûts publics
Mon nom porte désormais une flétrissure
Ma nature est imprégnée
Comme des mains d’un teinturier
Que votre pitié me renouvelle !
Je deviens un docile patient qui boit
Des potions au vinaigre contre l’infection
Nulle amertume m’est amère
Ni le double châtiment trop dur
Ta pitié, cher ami, je t’assure
Qu’elle m’est suffisante cure