Prenez en pitié votre pauvre ami
Elle suffit pour le guérir
La fortune gourmande
La déesse coupable
Qui pourvoit à ma vie
Avec des moyens publics
Mon nom est mal jugé
Ma nature en est subjuguée
Travaillée à la façon d’un teinturier
Priez-moi de me renouveler
Je boirai comme un patient
Vos potions vinaigrées
Sans amertume
Sans double punition
Cher ami je vous assure
Que votre pitié est suffisante