Ah ! ne m’invoque pas pour excuser les maux
Dont ta malice cruelle m’accable
Que tes yeux m’épargnent et tes mots me blessent
Navre-moi par la force et non par l’artifice
Ton amour est ailleurs
Détourne ton regard
Pourquoi blesser par ruse ayant le pouvoir le plus grand
Par rapport à ma débile défense ?
Je tiens à t’excuser : « Tes beaux yeux me sont adverses
Pour qu’ils fassent ailleurs leurs mauvais coups
Tu détournes de moi la puissance ennemie »
Ne le fais point ; je me meurs certes
Tes yeux m’achèvent et m’ôtent mon tourment