Ce cycle des « sonnets » shakespeariens se termine sur le mot « amour », son thème primordial.
L’amour n’est-il que du feu ? Comme pour son « brandon », le phallus ?
Les contraires s’attirent-ils ?
L’amour suscite-t-il la haine ?
Nos sentiments sont-ils vains ?
Chez le Shakespeare lyrique tout reste anonyme ? A l’opposé du Shakespeare, dramaturge ?
Pouvait-il donner un nom à ce qui est le plus anonyme ?
On peut débloquer l’imagination au profit d’un petit acteur spécialiste des rôles de femmes ? Shakespeare lui-même a joué des rôles de femmes ?
Pour lui tout est théâtre ?
Je m’intéresse au grand Will depuis soixante-dix ans il me dépasse toujours autant ?
Le sonnet 130 offrait il y a quelques années 22 traductions; pourtant ces « sonnets » sont rébarbatifs, pour ne pas dire rebutants, en français ?
Shakespeare propose songe et mensonge Est-il véridique dans ses « sonnets » ?
Un maître mot pour Shakespeare est la « beauté ». Qu’est-ce cela veut dire ?