Mes tempes désormais sont grises
Les cheveux sur mon front sont blancs
Mes dents sont parties
Je n’ai plus beaucoup de temps
Pour goûter la douceur de vivre
J’avoue que j’ai peur de l’autre rive
Elle me désole bien souvent
La route est triste qui descend
Il n’est pas près de remonter la pente
Celui qui la descend