La rentrée du stade est la joie
Pas de douceur
Près de ma mère
A mon retour
Loin des carrefours
Je me suis caché
Le coeur meurtri
On s’envole d’une victoire nouvelle
L’espérance donne des ailes
Je désire bien plus que l’or
Je grandis avec la gloire des mortels
Un jour suffit au contraire
Le destin ne fléchit pas
Suis-je borné par un jour ?
Que n’est-il pas ?
L’humain est le songe fabriqué par une ombre
Un rayon venu d’on ne sait où
Nous touche devient lumière
Soudain la vie est douce