C’est au bon moment qu’il faut cueillir
Amour et jeunesse
Les yeux d’enfant brillent sans cesse
Le fer et la froide flamme reforgent
L’âme dans l’acier
Les vives prunelles de la déesse
Font savoir qu’elle n’a pas le coeur noir
Un humain s’efforce et peine pour s’enrichir
Asservi aux femmes cruelles il se laisse aller
il ne sait plus rien que suivre en esclave
Le même chemin
Mais pour toi beauté je suis pareil
Les cires sont formées par les abeilles
Saintes et sacrées
Désir et beauté refont leur séjour
LÀ OÙ L’ENFANT A VU LE JOUR