Les hiboux dorment dans un arbre
Dans l’herbe les coucous montrent leur tête
Aux pieds des chênes et des houx
L’herbe en est littéralement criblée
Mais les pauvres fleurs sont comme des jouets
Elles sont présentes sur les prés sur les talus
Le temps prend les grêlons pour billes
Avec elles il joue aux quilles
Bientôt il ne reste plus de fleurs gentilles