L’armée sans nombre a fondu
Dans le deuil et dans l’ombre
Les femmes déchirent leur manteau
Et laissent sur leurs seins ruisseler leurs pleurs
Où est la volupté de la belle jeunesse ?
Le lit et sa mollesse ?
Pour les vieux pères le mal est total
On n’obéit plus à la loi
La force du Grand Roi n’est plus