Les chasseurs sont partis du fond des bois
Le triste son du cor n’est plus qu’un écho de fanfare
Où est le galop brutal du cheval qui s’effare ?
Cassant les derniers églantiers ?
Le faisan et la grive veillent et dorment
C’est la trêve du bonheur contre la chasse barbare
Les églantiers se pavoisent de roses
Le cerf a les yeux d’or pour contempler les choses
La biche fait les yeux doux à tout ce qui l’entoure
Elle n’est pas biche sans cesse
Elle est cette princesse qui le jour devenait biche au bois