Les merveilles du monde sont sans nombre
La plus grande merveille reste l’homme
Je veux dire par là l’humain
Je le préfère courant le vent en poupe
A travers la mer blanchissante
Dépassé par le son des vagues gonflées
Il capture les oiseaux légers
Les prisonniers marins des vagues
Et caetera…
A tous les horizons
Sur tous les continents
…….
Il a appris à connaître le langage drû
La pensée ailée l’esprit poli de la Cité
Il se réfugie sous son toit
Il est l’être aux mille ressources
Seul le pays des morts peut arrêter sa course
Si sage et un peu folle
……
Il est maître des cités
Il mêle les lois particulières contingentes
A celles universelles qu’il a juré
Devant les dieux d’observer
Il lui arrive de faire le mal
L’homme mauvais