Qui veut dépasser le temps de l’homme
Parait insensé
Les longues journées ressemblent à de la douleur
La seule guérison
Quand parait la dame fatale
Sans rondes sans lyres sans chansons
Son vrai nom est la mort finale
Ne pas naître est le sort le moins triste
Ensuite c’est retourner en hâte
Au séjour d’où l’on sort
Puis quels malheurs ne nous sont point épargnés ?
Luttes et coups assassins et jaloux
Querelles de partout
Le mal le plus mal ressenti c’est la vieillesse sans ami
La joie a fui avec la force
Seul le chagrin suit le cortège en camarade