La poupée aux yeux de faïence
Dort dans l’herbe parmi les fleurs
Le jardin entier semble une danse
De soleil et de bonheur
Au métronome de mon coeur
Le printemps règle la cadence
Sur notre antique crédence
Un sablier moqueur demande :
Qu’est-ce que l’existence ?
Des yeux en fleur des yeux en pleurs
De pauvres yeux de faïence