Je vous ai mêlé au paysage
Tout le jour les sources et les bois
M’apportent votre air penché
Et l’intonation de votre voix
Je vous ai mêlé à l’existence
Je confonds les ciels
Je confonds les instants
Lorsque je vous vois votre absence me fait froid
Lorsque votre absence règne je vous vois
Je vous ai mélangé à mon coeur
Les murs se sont effacé
Ce que j’écris de façon enflammée
Je ne sais pas si ce n’est pas vous qui le pensez