De même qu’un cheval immobilisé gavé d’orge…
Rompt son attache et soudain galope bruyamment à travers la plaine
Enclin à se baigner dans la belle rivière
Il se pavane Il porte haut la tête
Et sa crinière voltige sur ses épaules
Il est sûr d’être fort et éclatant
Et ses jarrets rapides l’emportent les lieux familiers
Où paissent les juments
Ainsi Hector excite ses conducteurs de chars
Il remue avec fougue ses jambes ses genoux
Après que la voix du dieu ait été entendue