Ainsi se termine pour moi l’histoire de Ryôkan, de son vrai nom Yamamoto Eizô, né en 1758 au Japon. Il fut moine bouddhiste et étudia la poésie classique, chinoise et japonaise. Il pratiqua entre autres l’art du Haïku. Mendier ( avec son bol ) fut pour lui nécessité et joie.
Comme d’habitude je pratique l’art de la translation, de la traduction-adaptation, avec une certaine fantaisie, je le reconnais.
Je le rappelle, il m’est déjà arrivé de pratiquer l’art du haïku, surtout en 2015, à partir de la fin mars 2015.
Parmi les inventaires partiels de mes publications sur ce blog, citons le 7 / 9 / 2016, le 20 / 4 / 2017, le 16 / 2 / 2018.