Tu montes la pente grave Tu montes au bleu des nues
Je me contente du bleu éparpillé dans la montagne
En haut les monts et les nuées se séparent
Ermite mes vêtements sont mouillés de larmes
L’émotion est illusion Elle n’est pas illusoire
Le soleil du soir passe le col
Les torrents s’éteignent soi-disant
Les pins la lune et d’autres amènent la fraîcheur
La pureté se cherche
L’erreur errante trouve un refuge temporaire