Le divin fuit la théologie
Le divin est païen
Il apprécie mer et montagne
Et aussi la campagne
Sur la voie des oiseaux
Il n’est rien d’humain
Je souris en silence
Je me refuse à avancer jusqu’où la musique s’épuise
Il est impossibile que l’univers soit à moi-seul
L’univers n’appartient à personne