Les blancs chevaux te précèdent
Sur le sentier aux mille parfums
Sur le fleuve l’air est si pur
Qu’il semble de la gaze
Que pourrait te rendre visite
Sur une barque aussi fragile ?
Dans la montagne aux mille monts
Un arbre est mort pour toi
Au coeur des fleurs ta robe de nuées
Discrètement rougit