Je ne suis pas triste à peine mélancolique
Il ne faut pas s’arrêter de penser
Je retourne à la primeur du temps
Les ténèbres peuvent être jaunes
Une brume est ténue de pâleur
Le vent froid s’effiloche
Ton visage de rosée frissonne sans aveuglement
Ton étrange rire suggère l’orchidée
Le printemps nous grise
Le souffle coupé je suis bien vivant