La flute effilée pleure dans les tentures
Prend garde Nul ne vit de la couleur des arbres
Malheureusement mon ressentiment frise les cimes
Mort et lubricité Ton parfum attire et repousse les amants
Les racines des lotus engendrent des poissons
Ta bouche pleine d’eau asperge les crinières noires
Les bâtonnets d’encens fument dans le grand chaudron de bronze
Le sage n’a que faire des drogues et des formules
Il ne respecte que quelques symboles de la vanité humaine
Découvrir ce que l’on cherchait est frustrant
Le but est le chemin pas sa fin