L’interrogation est sans fin
Puisse-t-elle être bien réglée ???
Le ciel s’écartèle au profit des rochers
Mon arbre est seul dans la montagne
Mon arbre ne fait pas d’ombre tant il est malingre
Les arbres chantent ils ont le vertige
La saison meurt dans l’ombre du ravin
En haut des pics vit la neige d’été
J’envie ceux qui couchent dans l’absolu s’il y en a
Le plus souvent je fais sans faire