Les tours immenses dominent l’herbe
Portent la guerre jusque dans le ciel
Se perdent dans les enfers
Elles sont cimentées du sang des peuples misérables
Elles ne seront un jour que de grands sépulcres affreux
Solitude extrême Nature
Tu pares la nuit de diamants
L’astre des saisons dore les moissons
La nature est inimitable
La nature en liberté brille d’une douce clarté
Qui se teinte d’amertume