L’un dit que le souverain bien est en la vertu, l’autre le met en la volupté, l’un à suivre la nature, l’autre en la vérité, l’un en l’ignorance, l’autre en l’indolence, l’un à résister aux apparences, l’autre à ne rien admirer….
Les sceptiques en restent au doute et à la suspension perpétuelle du jugement….
Que connaissons-nous de l’âme ?
Notre raison est-elle raisonnable ?
Certains disent que les éclipses présagent malheur
L’être humain ne se réduit pas à une machine
Le monde mis en mouvement n’a plus besoin de Dieu ?
« La science des moeurs » me console de l’ignorance des « sciences extérieures »
Nous sommes incapables de vrai et de bien quand nous sommes atteints de faiblesse, par exemple la maladie