Juge-t-on l’humain selon sa fin ou selon sa « multitude » ?
C’est misérable et grand de se connaître misérable
La pensée fait la grandeur de l’homme
Un homme sans pensée serait une pierre ou une brute
La pensée humaine est souvent sotte
L’humain est un « roseau pensant » L’univers peut l’écraser, l’homme sait qu’il meurt
L’avantage de l’univers ? L’univers n’en sait rien
L’éternuement est contre notre volonté
L’homme succombe au plaisir
Il ne se plaint pas de ne pas avoir trois yeux :
Trois formules, trois formulations d’un échec devant le réel, petit ou grand…
Une qualité ineffaçable, la recherche de la gloire, c’est-à-dire de l’approbation par autrui
Les uns craignent de perdre Dieu, les autres de le trouver