Le peuple honore les personnes de grande naissance, les demi-habiles les méprisent parce que ces « Grands » doivent tout au hasard, les habiles les honorent par « pensée de derrière »,…
Les vrais chrétiens obéissent aux folies parce qu’ils les pensent voulues par Dieu
L’homme connaît qu’il est misérable Il est grand puisqu’il connaît
Cette duplicité de l’humain est si visible que certains ont pensé qu’il avait deux âmes
L’humain est toujours divisé et contraire à lui-même
Les uns ont voulu renoncer aux passions et devenir dieux, les autres ont voulu renoncer à la raison et devenir des bêtes brutes
La continuité dégoûte en tout
La nature va et vient
Le vertige de la passion pervertit un esprit sans malice
Le maximum de vertu est dans l’ordinaire, pas dans les efforts
Certains joignent extrême valeur et extrême bénignité
Des vices s’insinuent dans des vertus poussées à l’extrême
Nous tenons parfois par des vices opposés
C’est sortir de l’humanité que de sortir du milieu entre les extrêmes
« L’homme n’est ni ange ni bête, et le malheur veut que qui veut faire l’ange fait la bête »
Certains humains sont comme des monstres incompréhensibles
L’humain doit s’aimer et se mépriser, s’aimer et se haïr… sans constance….
» Je ne puis approuver que ceux qui cherchent en gémissant »
* Je souhaite rappeler que les observations de Pascal se présentent dans le désordre de l’improvisation. je ne crois pas que ce serait une bonne idée de supprimer les propositions isolées, dépourvues de développement ….