Pascal a insisté à juste titre sur la misère de l’homme sans Dieu, pour notre part nous l’acceptons et ne cherchons qu’en ce monde des solutions humaines
Quant au fameux pari sur Dieu que nous aborderons bientôt, disons tout de suite que pour notre part nous parions sur l’humain, avec ou sans Dieu.
Il ne faut pas se reprocher les fautes commises par autrui
Les philosophes, à l’instar de Pascal, nous apprennent beaucoup
Beaucoup de leurs hypothèses sont à travailler en tant que telles
Comprenons d’abord avant de porter un jugement
Tout continue à foutre le camp mais nous pouvons accompagner le mouvement, en idée si possible
Rien ne nous contraint à partager le pessimisme de Pascal
Il est bon de savoir ce qu’on fait, plus encore que ce qu’on sait