PCE 100

La limite est le langage qui n’est plus langage * La chambre de l’éveil est au fond d’un bois fleuri Le printemps souffle sur l’herbe pa...

PCE 99

J’ouvre le chemin en taillant les bambous Je n’ai pas eu de maître Je le regrette un peu Je cultive autre chose que le clinquant et le creux Le vide...

PCE 98

Je voudrais mettre l’impensable au bazar Jusqu’où peut-on aller par amitié ? Par les volets ouverts un mont dans la montagne Au bas du perron l&rsqu...

PCE 97

Les ennuis naissent et claquent pour rien La différence entre la femme et l’homme est différentielle L’éveil est un poème l’éveil est émotion ...

PCE 96

Le mouvement de la vie est éternel et perpétuel pour nous Le soleil tombe sur un monde en guerre Paix du paysage Inconsciemment on souhaite que ça se passe mal ...

PCE 95

J’habite je me couche je grimpe je joue Je n’habite nulle part je me couche pour dormir Je grimpe l’inaccessible je joue à un jeu dépourvu de ...

PCE 94

L’interrogation est sans fin Puisse-t-elle être bien réglée ??? Le ciel s’écartèle au profit des rochers Mon arbre est seul dans la montagne Mon arb...

PCE 93

C’est amusant ce nuage qui coiffe un îlot Les herbes poussent la porte paresseuse Saisir la couleur d’après la pluie Tout est nuance La montagne pas...