PCE 92

Qui peut le plus ne peut pas nécessairement le moins Moins la virginité stérile que l’ignorance exubérante Je te dévisage sans te reconnaître Pourquoi l&r...

PCE 91

Qu’y-a-t-il dans la montagne ? Je ne peux que vivre et vous le dire Le déclin de la lumière laisse un rayon pur J’aime les choses de l’eau J&r...

PCE 90

Une ligne de pics répète ses abrupts La profondeur sans fin de l’ombre bleue Le givre rougit les érables L’ennui m’enlève à moi je reviens à m...

PCE 89

Le murmure du vent la pluie de lune L’oiseau d’eau La surprise de rêve Seul il s’ignore En compagnie il s’ignore aussi Je joue avec mon ...

PCE 88

Frais parfums parfums sauvages Chez nous le clair de lune est sauvage Oui ! Là-bas le monde est en guerre J’écoute seul sur mon lit je médite Sur un beau ...

PCE 87

Tout résonne tout est en échos Rien n’est étranger à rien Coups du sort failles fêlures affrontements Rien n’est étanche pas de protection ultime Im...

PCE 86

Tu te réveilles au clair de lune Tu es entre deux âges Tu ries des folies de ta chambre vide L’éveil procède par éclats Un rien tel un rire bruit à l&rsqu...

PCE 85

La flute effilée pleure dans les tentures Prend garde Nul ne vit de la couleur des arbres Malheureusement mon ressentiment frise les cimes Mort et lubricité Ton...

PCE 84

Ma femme amante des nuits d’espoir Au fond du sac à poèmes mes premières poésies sont les dernières Lie de la lumière Le plus pur des phénomènes a sa lie ...

PCE 83

Aucun de nos chevaux de chair et d’os n’escalade le ciel Autrefois mes rides elles-mêmes furent jeunes Ma belle amie est futée Les tabous ferment le...