Ainsi se termine la série PZ, fondée sur la lecture du beau livre de Evelyne de Smedt et Catherine Mollet ( « Les patriarches du Zen », éditions le Relié poche, Paris, 2012 ).
Mon livre n’est pas d’introduction au bouddhisme, mais à une vérité peut-être universelle, inspirée par les maîtres chinois et japonais du bouddhisme.
Pour ce faire, j’ai gommé les éléments historiques, les noms propres et surtout les aspects dogmatiques.
Nous avons affaire à des propositions diverses qu’on peut refuser, qui subsistent comme propositions.
La vision du monde en cause pourrait être un pessimisme critique, conjoncturel, un sens du mouvement qui peut être joyeux, un monde sans fin….
On peut comparer cet éloge des éléments laïcs du bouddhisme avec celui du Tao, exhumé d’une tradition chinoise, plus sagesse que religion ( un exemple : TSC août 2017 )