L’un cite la lune, l’autre le soleil
Avide, colérique, ignorant, tu attires tes pareils
Quand tu es endormi, ton visage est lourd et stupide
L’humanité détruit, mais elle construit aussi !
J’escalade les abrupts et je retourne à ma hutte
Personne ne me reconnait
Mon plaisir est mien
Les nuages blancs sont les compagnons de mon pur bonheur
Seuls les purs croyants peuvent réaliser une telle joie
Les purs croyants n’ont pas la même religion que toi