Je n’ai jamais eu peur de la vérité
Pas de haut-le-coeur devant l’argent
Tu es si grand que tu atteins le septième firmament
Je suis si petit que les firmaments reposent sur moi
En hiver achète une pelisse pour toi et du bois pour tous
Chante la gloire !
Son château est en flammes, le seigneur est là
Pour quelle raison l’humain existe-t-il ?
Où habites-tu ? – Là où l’on me fait entrer
Les sables ne sont pas tous mouvants