On peut remuer la fange, elle reste fange
Sais-tu d’où tu viens, où tu vas ?
Je proviens de cent mille générations d’êtres humains
La voix parle toujours quand nous l’entendons
Suis-je la goutte d’eau dans un vase ?
Tout se résout en poussière
Laisse moi le coeur avec lequel je t’aime
J’ai tout perdu sauf peut-être moi même
La mer vit et s’enfuit
Le vieillissement nous invite à commencer