L’onde accroit l’onde
Les villages sont invisibles sous l’eau du grand fleuve
Ni repos ni quiétude !
Il n’y a plus que l’eau du fleuve
Les monts se dénudent
Les étangs et les lacs débordent
Le flot ne cesse de s’étaler
Sauriens et dragons déchaînés
S’échappent au loin
Aux eaux il est vain d’imposer notre loi