Aux dalles de jade
A crû la poussière
Froide et silencieuse
La chambre est déserte
Les feuilles mortes désormais s’amoncellent
Celle qui fut si belle ne s’inquiète guère
Du deuil de mon âme inquiète
L’orchidée et le chrysanthème brillent encore
Les chants des rameurs s’apaisent
La tristesse est grande des plaisirs épuisés