APC 8

L’excès est la ruine de l’humain
Le vent siffle dans les ramures
Plus impérieux qu’impérial
Le pouvoir maltraite le peuple
Les gens se dispersent, ils ne se reverront plus
Les rames de mon pauvre bateau s’élèvent avec lenteur
Je pleure le bonheur paisible des rivages
L’herbe recouvre le palais
Les sages et les probes s’attirent la haine des malfaisants
Intègre et loyal je fus exilé