Je ne revins qu’au déclin de l’année
La splendeur du soleil s’était voilée
Ton tombeau solitaire me trouble le coeur
Ce qui fut chair vole avec la poussière
Tendre fils sauras-tu qui je suis ?
Ton âme erre esseulée au gré des vents
Elle n’a ni havre ni appui
Je cherche au sol et au ciel l’âme navrée
Nos jours sont mesurés les tiens ont peu duré