Elle est jolie et s’y connait en vers et en mûriers
Quand il la voit, un passant s’arrête
Un garçon ôte son chapeau
Elle n’a pas vingt ans
Son époux est l’un des cavaliers qui sont partis vers l’est
Un poulain bai suit sa jument blanche
Le teint blanc le poil dur
« Nul ne l’égale » pense la belle
Les herbes de la rive sont bien vertes
La route de mes songes est bien longue
« Je le vois à mes côtés » Il est très loin de fait
Le mûrier est sec la mer est froide
Quiconque entre chez moi ne pense qu’à lui-même
Je reçois une lettre avec deux carpes
Je me prosterne pour la lire
Elle me souhaite de bien manger
Elle m’assure d’un fidèle souvenir ….
Verte est l’herbe du jardin
La rosée attend le jour
Le printemps est glorieux
Les fleuves courent vers la mer
Reviendront – ils vers l’ouest ?
Jeune et fort fais ton possible
Vieux tout te sera de moins en moins facile