Courent les feux follets
Comme une enfant sans peur
Qui pleure son âme
Là voilà étendue gisante
Elle ne s’adresse plus
Aux rochers ni aux arbres
Sa silhouette serait encore présente
Dans les détours de la maison
Nous avions juré de vivre ensemble
Côte à côte
Ta cruauté est grande
Mon auguste femme chérie