Le jour d’hier ne se retient pas
On tire l’épée pour couper
L’eau du fleuve
Elle coule de plus belle
Parle toujours tu m’intéresses
Nous noyons nos chagrins
Dans le vin
Ils remonteront pour de bon
Rien ne répond à nos désirs
En ce bas monde
En vain tu te dévergondes
Tu sors de tes gonds
Demain les cheveux au vent
En barque nous voguerons
Les fleuves nous laisseront aller
Vers l’embouchure vers la mer