Lyr 31

Du haut de la plus haute tour
Fleuve et plaine se perdent
Sous le soleil couchant
L’humain lui chemine toujours plus loin

Pour se dire adieu
Dans le crépuscule
Reviennent les oiseaux
Toujours de loin croit-on

Je souffle dans ma flûte
J’accompagne mon pote
Un vieux copain
Sur le lac vert

Face au couchant
Jusqu’à la rive
Sans se retourner
La montagne verte cernée de nuages blancs